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Alors que j’écoutais Caroline Dublanche in the middle of the night, en grignotant quelques scones façon La Poule tranquillou, je décousais une couture fermement décidée à s’accrocher à la vie.
Le découd-vite paraissant bien faiblard face à la tâche, j’ai chevauché l’arme redoutable : les mini ciseaux Bohin.
Non, mais sur la photo on se rend pas bien compte.
En vrai, ils sont menaçants, tranchants, MEURTRIERS!
Et voilà, le classique de la charcutière charcutée…
Là ça parait pas, mais mon pauvre p’tit pouce a saigné pendant un moment. C’est qu’ils n’y ont pas été de mains mortes mes ciseaux sanguinaires…
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Ce qui est saisissant dans cette histoire, c’est que j’ai pensé à sortir mon appareil dans un moment pareil.
C’est par où les inscriptions des blogueurs anonymes?
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Mais que ne ferait-on pas pour l’anniversaire de l’être aimé…
(s’il lisait mon blog, j’en remettrais une couche sur tooooooous les sacrifices accomplis pour l’achever, mais je vous épargnerai ça…)
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J’avais eu l’occasion de me pencher sur le cas de la sacoche pour homme une fois.
L’expérience avait été quelques peu traumatisante.
J’ai donc préféré sauver mes cheveux et m’en remettre à ses explications.
Le tuto est plutôt bien fait.
Il manque la doublure du rabat dans le plan de découpe.
Et si comme moi, vous avez fait la doublure dans une toute petite chute, ça peut être problématique.
Perso, j’ai opté pour l’assemblage de petits pans, mais si on est vraiment à court, on peut toujours faire avec un autre tissu.
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Jean’s, La Maison des Tissus (Lyon) – Tissu beige Heytens
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Et une photo de la sacoche portée :